Le 16 mars, venez en balade des bastides à l’habitat social avec Lucienne Brun.

Le 16 mars au matin, venez participer à lalade patrimoniale  Des bastides à l’habitat social avec Lucienne Brun.

A partir de la Villa Favorite, peinte par Monticelli, cette balade évoque, en un kilomètre et demi et un siècle et demi, l’urbanisation d’un territoire encore rural au milieu du 19° siècle.Ensuite : – la Cité St Louis : premier habitat social de Marseille, – la colline Consolat : histoire du domaine Consolat, histoire de l’habitat social, une colline comme espace de liberté à proximité des cités et le Saut-de-Marot et « la roche percée » de Monticelli.

Du bidonville à la cité

La transformation des modes d’habitation figure parmi les plus grands bouleversements du second XXe siècle. Comment les logements insalubres et l’habitat collectif ont-ils émergé à Marseille ? Quels choix architecturaux ont été faits et pourquoi ? Historiens, architectes, aménageurs, artistes et témoins participent au débat.

Le Conseil général des Bouches-du-Rhône présente vendredi 9 décembre de 13h30 à 19h30 « Du bidon ville à la cité », une journée de débats avec notamment l’association Ancrages, partenaire d’Hôtel du Nord.

Cette journée a lieu à l’Auditorium des Archives départementales : ABD Gaston-Defferre
18-20, rue Mirès 13003 Marseille. Entrée libre dans la limite des places disponibles

> Voir programme détaillé : flyer Journée 9 décembre 2011

L’école des hôtes en balade patrimoniale à Saint André

Le 18 Mars 2011 au matin, une quinzaine de personnes est partie de la Place de l’Eglise de Saint-André pour une balade patrimoniale dans le cadre de l’école des hôtes mise en place par la coopérative Hôtel du Nord.

Conçue et organisée avec l’association Ancrages, ce parcours évoque également les liens entre histoire industrielle et histoire migratoire en apportant des sources archivistiques sur le peuplement et la main d’oeuvre étrangère du bassin de Séon.

La ballade patrimoniale, intitulée « L’usine Martin frères, une tuilerie fabrique de l’urbain », a permis de découvrir l’inscription dans le paysage et au travers des récits d’habitants, du poids de la production des tuiles dans l’histoire  locale. Cette production initialement « artisanale » puis industrielle a participé à dessiner le territoire. La balade est une invitation à la recherche des traces archivistiques, paysagères et mémorielles.

Enfin la balade a mis en valeur les traces autour de quelques étapes, telles que la cheminée des Tuileries dont la base a été conservé au sein de la résidence d’habitat social de Sud Habitat. La  balade s’est conclue autour du déjeuner proposé par les femmes du quartier « Espoir et culture » ainsi que le centre social de l’Estaque.