C’est sous ce titre que la revue We Demain qui consacrait une partie de ses 150 pages aux plateformes numériques coopératives, parle d’Hôtel du Nord !
L’article est à lire ici.
C’est sous ce titre que la revue We Demain qui consacrait une partie de ses 150 pages aux plateformes numériques coopératives, parle d’Hôtel du Nord !
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Nous vous invitons à découvrir Youtube-Hôtel du Nord.
Sont ici rassemblées toutes, ou presque, les émissions qui racontent la coopérative dans toutes ces facettes.
Hôtel du nord bénéficie d’une belle couverture médiatique, en ce début d’année 2017 :
– On vire de bord !, un reportage de Provence + TV, diffusé lors du lancement des soirées « Citoyens pour Demain » à la Ruche à Marseille, dans le cadre de “2017, année du tourisme durable par les Nations Unies”. Hôtel du Nord et Boud’Mer sont des exemples de tourisme durable…
– Hôtel du Nord, coopérative d’habitants – volet 1, pour l’émission Prioriterre, le magazine du développement durable de France 3 Provence Alpes. De La Cabucelle à La Castellane, des balades à l’accueil chez l’habitant…
– Hôtel du Nord, tourisme social – volet 2, pour l’émission Prioriterre, produite par Eric Dehorter, qui propose un état des lieux des initiatives et des acteurs du développement durable dans la région. Des abattoirs à Saint-Antoine, du territoire au partenariat avec l’Hôpital Nord…
Bien d’autres encore, sociétaires, passagers, témoignages, quartiers de la ville et paysages, sont à voir parmi les treize vidéos que nous avons pu réunir. Certaines ne sont pas disponibles sur Youtube, telle cette émission de France3 Marseille, autour de l’Hôpital Nord avec Agnès et Louis, ou d’autre comme “Des Racines et des Ailes” diffusée sur France2 en janvier 2013.
Bon voyage à Marseille en compagnie d’Hôtel du Nord !
Hôtel du Nord et Boud’Mer sont les exemples de tourisme durable pris lors du lancement des soirées « citoyens pour demain » à La Ruche à Marseille avec Provence Plus TV le 26 janvier 2017. Leurs expériences de construction d’offres touristiques d’un autre genre, ayant du sens et sortant des seules perspectives consuméristes du secteur du tourisme sont illustrées dans le film de Guillaume. Il les a suivis au cours de leurs balades et explorations des collines de Verduron à l’ïle de Pomègues à voir donc sur: https://www.youtube.com/watch?v=8clGKxiHDcA
Nathalie Cazals d’Hôtel du Nord, Virginie Vaincbourg de Citoyens de la Terre et Rémi Bellia pour le Pescatourisme ont échangé avec plus d’une cinquantaine de personnes sur ces nouvelles pratiques dans le champ du tourisme. Mettre en interactions attractivité du territoire, environnement, respect des populations, échanges et expériences ont été tour à tour les thèmes les plus discutés. Des exemples qui donnent une envie de voyage…
Le journal 20 Minutes du 28 juin 2016 consacre un article “Euro 2016 : A Marseille, les quartiers Nord, (encore) oubliés de la fête” à “la compétition qui agite Marseille depuis début juin n’a pas conquis les arrondissement les plus pauvres de la ville…” avec comme témoins notamment deux sociétaires de la coopérative d’habitants Hôtel du Nord : Michèle Rauzier et Agnés Blais.
Face au recul des droits de l’homme, de l’état de droits et de la démocratie, face au repli des États, à la fermeture des frontières et à la libéralisation du droit du travail, des acteurs économiques choisissent de coopérer pour réaffirmer et pour renforcer ces Droits, patrimoine commun de l’Europe[1]
À l’occasion de la fête du travail du 1er mai et des 80 ans des congés payés, ces acteurs ont choisi d’annoncer la création de la coopérative H2H – humain à humains.
Issus du tourisme social, de l’open source, de la culture, de l’artisanat, du monde coopératif , H2H fédère plus de 200 acteurs économiques répartis sur une centaine de villes et villages en France pour créer et gérer un outil commun de promotion et de commercialisation d’offres d’hospitalité. Des offres de balades, de séjours, d’hébergements, de produits locaux conçus avec les habitants dans le respect des territoires et de leurs hôtes.
Des offres co-produites de voyages, d’accueil et de découverte des produits et des savoir-faire locaux, pour démontrer que la richesse se crée physiquement sur les territoires et grâce à ses acteurs.
H2H vise à faciliter la rencontre, la mise en lien, l’échange, la transmission, la découverte de l’autre et des territoires. Sa plate-forme numérique étant développée comme un outil de mise en lien au service de la finalité du projet : favoriser une plus juste répartition des richesses pour faire vivre les activités qui nourrissent les territoires et les Hommes.
Déclarée depuis le 20 avril 2016, lauréat du Prix de l’innovation du forum de l’UNAT, soutenu par des acteurs publics, privés et grâce à l’investissement en fonds propres des fondateurs, la coopérative H2H poursuit son travail de mise en commun et lance ses premiers workshops pour créer sa plateforme numérique, sa marque et son école des hôtes.
Poitiers, le 03/05/2016
Les fondateurs : Hôtel du Nord, Ekitour, Minga, Point Carré
[1]Le patrimoine commun de l’Europe recouvre tous les patrimoines culturels en Europe constituant dans leur ensemble une source partagée de mémoire, de compréhension, d’identité, de cohésion et de créativité et les idéaux, les principes et les valeurs, issus de l’expérience des progrès et des conflits passés, qui favorisent le développement d’une société de paix et de stabilité fondée sur le respect des droits de l’homme, de la démocratie et de l’Etat de droit. Article 3 – Patrimoine commun de l’Europe. Convention-cadre du Conseil de l’Europe sur la valeur du patrimoine culturel pour la société.
Michèle Jolé, sociologue et ethnographe de l’urbain, auteur en janvier 2012 d’un long article de fond « Hôtel du Nord. La construction d’un patrimoine commun dans les quartiers nord de Marseille » publié sur la revue en ligne Métropolitiques, vient de publier avec William Kornblum, professeur de sociologie et de psychologie environnementale, « Le marché aux puces de Marseille va-t-il disparaître ? » dans la même revue.
Extrait : Le marché aux puces de Marseille est au cœur d’une gigantesque opération de rénovation urbaine qui risque de l’effacer de la carte. Michèle Jolé et William Kornblum, deux Marseillais d’adoption, explorent la perte que la transformation de cette institution représenterait pour les habitants et plus largement pour les quartiers Nord de la métropole phocéenne.
L’hébergeur ouvrira en février 2017 un premier club de vacances au cœur de Marseille. D’autres devraient suivre dans les grandes villes françaises.
Société Coopérative Ouvrière Provençale de Thés et Infusions
Bonjour à tous,
Nous vous invitons à découvrir, à partir du lien ci-dessous, un petit reportage sur le thé, réalisé et diffusé dans le cadre de l’émission « On n’est plus des pigeons », sur France 4, lundi 29 février.
Le reportage s’intitule : « Le thé, comment bien le choisir ? ».
Présentation du sujet en début d’émission. Début du reportage (58 :42) :
http://www.france4.fr/emissions/on-n-est-plus-des-pigeons/diffusions/29-02-2016_461897
Au cours de l’émission, qui se veut très didactique avec une portée éducative à l’attention des « pigeons », que sont les consommateurs non-avertis, une journaliste d’investigation s’est livrée à une enquête sur la qualité des thés proposés dans la grande distribution à partir de critères d’analyse permettant de distinguer les produits présents en magasin.
Source Twitter : On n’est plus des pigeons.
Il apparait pour cela nécessaire de faire le tri parmi les recettes affichées et la présentation des ingrédients qui composent chacun des produits (l’Origine du thé : Chine, Inde, etc. ; les Variétés de thé : Darjeeling, Sri Lanka, Assam etc. ; la Nature du thé : thé vert, thé noir -obtenu par procédés d’oxydation-, etc. ; la Qualité du thé : thé nature, thé aromatisé). On découvre que la communication des ingrédients, le langage employé, la tournure des énoncés s’avèrent très trompeurs pour le consommateur, voire au contraire très instructifs dans la mesure où ce « double-discours » est motivé par une recherche de profit réalisée par le fabricant. La présence d’arômes doit ainsi être l’objet d’une lecture attentive dans la description des recettes, selon que l’on parle « d’arôme naturel » ou simplement d’une présence d’« arômes » dans les recettes confectionnées. L’absence du qualificatif « naturel » associé au terme arôme signifie qu’il s’agit d’une solution chimique ou synthétique de substitution.
Au cours de cette enquête, visant à déjouer les pièges de cette communication abusive et identifier les bons produits, accessibles au plus grand nombre, la gamme « 1336 » s’est particulièrement distinguée sur le marché de la grande distribution. Il semble que le travail réalisé à SCOP-TI, depuis un an désormais, s’inscrivant dans une recherche de qualité, de transparence et de respect du consommateur, soit reconnu et il est bon de le faire savoir ! A regarder sans modération et diffuser largement autour de vous !!!
Et pour ceux qui ne l’aurait pas vu… Nous vous invitons à revoir le reportage diffusé au cours du Journal de 13 heures, sur France 2, samedi 5 mars 2016, consacré à Gaston et Suzanne STEMPF, un couple d’amis retraités qui vit en Alsace et nous soutient depuis des années :
le site d’information Centre-presse.fr consacre un article le 23 février 2016 au processus H2H porté par Ekitour en Poitou-Charente et Hôtel du Nord en Région PACA : “L’hôtellerie peut aussi devenir coopérative“.