Balade à la découverte du patrimoine industriel et culturel de l’Estaque

Date(s) - 14/11/2020
Horaires -15:00 pm - 17:00 pm
Auteur(s) : Gérard et Janine
Places disponibles : 25 / 25
Tarif : €0,00


 

 

Hôtel du Nord, par une marche de 2 h 00 environ à travers l’Estaque, vous montrera comment la tuile et le ciment, exploités ici, ont fait connaitre Marseille à travers le monde. Nous verrons aussi pourquoi et comment Cezanne à l’Estaque est à l’origine de deux grands courants de la peinture moderne : le fauvisme et le cubisme qui sont nés ici dans le Vallon des Riaux. Enfin un point sera fait sur le plus grand sous marin civil du monde, le SAGA, à l’initiative du Commandant Cousteau et entreposé ici. Un autre point  sera fait sur le DRASSM, Centre de toutes les missions archéologiques sous marines et sub aquatiques menées par la France à travers le monde et siégeant ici à l’Estaque !

Les informations concernant le lieu de rendez-vous vous seront communiquées par mail après inscriptions.

Votre guide : Gérard Planchenault 06 14 18 38 20

Cette balade est proposée dans le cadre de l’exposition photographique “Traces d’usines” de Jean François Debienne qui se tient du 03 au 30 novembre à Thalassanté (175, plage de l’Estaque). La balade se conclura par la visite de l’exposition et la possibilité de participer au reste de la programmation prévue sur place ce jour là (plus d’informations à venir).

Traces d’usines, est un retour sur le passé, mais toujours actuel, sur un ancien site industriel, avec  des portraits  de toutes les générations, de gens liés à ces usines, photographiés seuls ou en groupe, devant leurs maisons, ou sur les friches mêmes des usines, parfois avec un objet récupéré de ces usines, avec  des contrastes de lumière, des ombres
Traces d’usines, ce sont aussi des photographies de  routes, des escaliers, de sentiers, de ces  friches, avec parfois un bout de mer qui est ici  partout., ou des  camions de Lafarge que l’on voit encore passer,  en haut…
Quelques bribes de la culture ouvrière, le temps des suives…
Traces d’usines, ce sont enfin, prés  de 300 photos pour ce travail documentaire de plusieurs mois, parmi lesquelles j’ai choisi une trentaine de  photos en noir et blanc, développées en différents formats, grands et petits
Un petit bout de mémoire ouvrière et de patrimoine  …
Jean François Debienne  sept 2020
Une production de Images et Paroles Engagées

Réservations

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