Date(s) - 02/07/2021
Horaires -17:30 pm - 20:30 pm
Auteur(s) : Le Mille Pattes
Places disponibles : 13 / 25
Tarif : €0,00
L’année passée, en slalom entre deux confinements, les voisins-explorateurs du 1000 pattes ont amorcé une lente descente des hauteurs de Cossimont jusque dans le vallon bas des Riaux. L’idée était simple : en suivant à la fois le chemin de l’eau invisible et les multiples usages historiques de cette « pente », recomposer une histoire complexe de la colline pour mieux en comprendre et en partager les enjeux d’aujourd’hui. En octobre dernier, un week-end un peu fou a ainsi réunit exposition, grande marche, performances artistiques et conférences dans la partie du massif façonnée par l’histoire industrielle de l’extraction calcaire et du ciment.
Nous vous invitons à poursuivre l’enquête, en poursuivant pas à pas la descente vers la mer, cette fois en suivant également les traces des usines chimiques qui ont longtemps organisé la vie quotidienne de centaines d’habitants de ces quartiers de l’Estaque. Cette balade s’appuiera sur le parcours photographique de Jean-François Debienne. Ses photos, installées avec la complicité des habitants dans l’espace public, sera le support de rencontres et de conversations pour partager les mémoires et les savoirs.
La balade sera suivi d’un temps d’un temps convivial (apéro et pique nique partagé ) au coucher du soleil.
En partenariat avec Images et Paroles engagées, Thalassanté et la MMA des Riaux. Merci aux habitants contributeurs.
Pour lire les enquêtes du Sens de la pente #1…
Traces d’usines Série photographique de Jean François Debienne Lieu du travail : quartier des Riaux, Estaque Marseille 16ème Travail commencé en février 2019 et terminé en juillet 2019 Traces d’usines, est un retour sur le passé, mais toujours actuel, sur un ancien site industriel, avec des portraits de toutes les générations, de gens liés à ces usines, photographiés seuls ou en groupe, devant leurs maisons, ou sur les friches mêmes des usines, parfois avec un objet récupéré de ces usines, avec des contrastes de lumière, des ombres Traces d’usines, ce sont aussi des photographies de routes, des escaliers, de sentiers, de ces friches, avec parfois un bout de mer qui est ici partout., ou des camions de Lafarge que l’on voit encore passer, en haut… Quelques bribes de la culture ouvrière, le temps des suives… Traces d’usines, ce sont enfin, prés de 300 photos pour ce travail documentaire de plusieurs mois, parmi lesquelles j’ai choisi une trentaine de photos en noir et blanc, développées en différents formats, grands et petits Un petit bout de mémoire ouvrière et de patrimoine … Jean François Debienne sept 2020 Une production de Images et Paroles Engagées
Module d'inscription
Les réservations ne sont pas ouvertes pour cet évènement.